Dernière modification de l’article le 13 février 2025 par Admin
Pourquoi certains élèves abandonnent-ils avant même d’avoir essayé ?
Le problème n’est pas leurs capacités. Ce n’est pas leur intelligence.
C’est leur croyance.
Un élève convaincu qu’il est incapable ne verra pas l’exercice pour ce qu’il est : un défi à relever, un chemin d’apprentissage.
Un élève qui peine, qui abandonne, se dira, presque comme une vieille rengaine : « Je suis nul. Je n’y arriverai jamais. »
Il hésite. Il se bloque. Il s’auto-sabote.
Non pas parce qu’il est incapable, mais parce qu’il croit l’être.
Ce qu’il perçoit n’est pas la réalité, mais l’histoire qu’il se raconte sur lui-même. Et plus il la répète, plus elle devient sa vérité.
Vos élèves ne sont pas des machines à absorber des connaissances.
Quand vous expliquez une nouvelle notion, vous ne leur donnez pas juste une information.
Vous leur offrez un cadre de pensée.
Comment pouvez-vous aider vos élèves à se libérer de leurs croyances limitantes (appelées aussi blocages) ?
Article et texte écrits par Jean-François MICHEL Auteur « Les 7 profils d’apprentissage » Éditions Eyrolles 2005, 2013, 2019 et 2024
Imaginez : un élève franchit le seuil de votre classe, une copie froissée dans une main tremblante, les épaules basses, le regard noyé dans l’abattement. Il s’assied, plus lourdement que d’habitude, et murmure :
« Je n’y arriverai jamais. »
Ce moment pourrait sembler insignifiant, une scène parmi tant d’autres dans la routine d’un enseignant. Et pourtant, il est tout sauf banal. C’est une scène charnière, une bifurcation silencieuse où quelque chose d’invisible mais essentiel se joue. Ce qui compte ici n’est pas le contenu de la copie ni même l’exercice en lui-même. C’est l’histoire que l’élève se raconte dans sa tête, une narration interne qui façonne ce qu’il croit possible.
L’invisible théâtre des croyances
Dans l’esprit de cet élève, il ne s’agit pas seulement d’un problème à résoudre ou d’une note à améliorer. Il est déjà en train de rédiger son propre verdict : « Je suis incapable. » Et ce verdict agit comme un filtre. Tout ce qui suit – ses efforts, sa concentration, son engagement – sera teinté par cette croyance profonde.
À cet instant précis, l’élève n’interagit pas avec la réalité objective de l’exercice. Il interagit avec l’interprétation qu’il en fait, une interprétation dictée par une voix intérieure répétitive :
- « Je ne suis pas doué. »
- « Les maths, ce n’est pas pour moi. »
- « Pourquoi essayer si je vais échouer ? »
Cette voix ne se contente pas de commenter la situation. Elle crée la situation. Elle transforme un simple exercice en montagne insurmontable, un cahier en symbole d’échec.
Ce que l’élève voit n’est pas la réalité
Le cerveau humain est un maître conteur. Il ne se contente pas d’enregistrer les faits ; il les interprète, les déforme, et parfois, les amplifie. Comme dans l’histoire de l’élève, notre cerveau n’observe pas seulement la réalité : il projette ses croyances dessus.
C’est ce que l’on appelle dans le jargon de la psychologie : un biais cognitif. Ainsi le jugement est tronqué via l’interprétation.
Pour cet élève, la copie froissée n’est pas qu’un morceau de papier ; c’est une preuve matérielle de son incapacité (biais psychologique de confirmation d’hypothèse).
Son regard évite le vôtre parce qu’il anticipe déjà la déception. Ses épaules basses traduisent une résignation qui dit : « À quoi bon ? »
Et c’est précisément là que réside le rôle clé de l’enseignant. À cet instant, vous n’avez pas simplement face à vous un élève qui lutte avec un exercice. Vous avez devant vous un esprit qui en guerre avec lui-même.
Le défi des croyances limitantes
Ce qui se joue ici va bien au-delà des compétences académiques. Cet élève n’a pas seulement besoin d’apprendre une méthode ou une formule ; il a besoin de réécrire l’histoire qu’il se raconte sur lui-même. Une histoire où l’échec n’est pas une preuve d’infériorité, mais une étape vers l’apprentissage. Une histoire où ses efforts comptent davantage que ses résultats.
Votre rôle ? Intervenir dans cette narration interne. Non pas en lui dictant une autre histoire, mais en lui montrant qu’une autre version est possible. Là où il voit une montagne infranchissable, vous pouvez lui montrer un chemin sinueux mais praticable. Là où il voit une impasse, vous pouvez dessiner une porte.
Car au final, ce n’est pas le manuel qui enseignera à cet élève qu’il peut réussir. Ce sont ses croyances – celles qu’il porte déjà et celles que vous pouvez l’aider à construire. ✨
Vous en doutez ? Alors voici l’histoire d’une expérience qui tourne au canular
Voici l’histoire d’Éric Boschman, sommelier renommé et élu meilleur sommelier de Belgique en 1988, qui a orchestré un canular aussi ingénieux que révélateur.
Lors d’une émission télévisée, il a présenté une bouteille de vin poussiéreuse estampillée d’une étiquette au nom de « Château Colombier », un cépage situé en Côtes de Sambre et Meuse (Wallonie).
Éric Boschman vante les qualités prétendument exceptionnelles du précieux breuvage : « Ce vin, disait-il, est issu d’un terroir unique, travaillé avec soin par un vigneron passionné. Vous y retrouverez des notes complexes, une richesse en bouche et une finale d’une élégance rare. »
Les invités, des experts en œnologie, se sont empressés de déguster ce nectar qu’ils croyaient hors du commun. Les réactions furent immédiates :
- « Quelle profondeur ! »
- « Une complexité étonnante. »
- « Une véritable symphonie pour les papilles. »
Leurs commentaires débordaient d’enthousiasme. Chacun rivalisait d’adjectifs pour décrire les subtilités qu’il percevait dans ce vin exceptionnel.
La révélation
Mais voilà, la vérité était tout autre. Ce vin « exceptionnel » n’était qu’une modeste bouteille achetée en supermarché pour 2,50 €. Une simple piquette. Pas de terroir prestigieux, pas de vendanges manuelles, juste un produit basique, sans prétention.
Alors pourquoi les experts, formés à détecter les moindres nuances, ont-ils été dupés ?
La réponse est simple : l’histoire qu’on leur avait racontée.
Ce que révèle cette expérience
Cette expérience illustre avec brio à quel point nos perceptions sont influencées par nos croyances et nos attentes. Les sommeliers ne goûtaient pas simplement du vin ; ils goûtaient l’histoire qu’on leur avait racontée. Leur expertise n’a pas suffi à neutraliser l’effet de l’image mentale qu’ils avaient construite autour de cette prétendue « bouteille d’exception ».
Ce tour de passe-passe révèle une vérité fondamentale : nous ne percevons pas la réalité telle qu’elle est, mais telle que nous la croyons être. L’étiquette et le récit associé ont suffi à transformer une boisson ordinaire en un élixir mémorable. Leur cerveau, influencé par cette mise en scène, a créé une expérience sensorielle en cohérence avec leurs attentes.
Comme Éric Boschman [1] avec ses sommeliers, les enseignants et formateurs jouent un rôle de « conteurs ». Les mots que vous utilisez pour présenter une tâche, une évaluation ou même le potentiel d’un élève agissent comme une étiquette invisible.
Si vous présentez un exercice comme difficile, vos élèves le percevront comme une montagne à gravir, et leur cerveau, influencé par cette croyance, amplifie la difficulté ressentie. En revanche, si vous décrivez ce même exercice comme une opportunité d’apprentissage ou un défi à relever, vous transformez leur perception. Leur esprit s’ouvre, leur motivation grandit, et leur engagement augmente.
La morale de cette histoire ? Ce n’est pas seulement ce que vous enseignez qui compte, mais la manière dont vous le présentez. Une piquette peut devenir un grand cru, tout comme un élève peut devenir brillant, simplement parce qu’il croit qu’il en est capable. Et c’est vous qui racontez cette histoire. ✨
Le pouvoir de croire : une clé cachée dans l’apprentissage
Henry Ford se plaisait à dire : « Que vous pensiez être capable ou non, dans les deux cas, vous avez raison. »
Cette phrase, simple mais puissante, renferme un principe fondamental : ce que nous croyons à propos de nous-mêmes détermine ce que nous tentons, persévérons, et finalement, accomplissons.
En tant qu’enseignant ou formateur, vous avez le privilège – et la responsabilité – d’influencer ces croyances chez vos élèves. La vraie question n’est donc pas simplement : « Comment enseigner mieux ? », mais surtout : « Quelles croyances suis-je en train de nourrir chez mes élèves ? »
Les croyances limitantes : ces murs invisibles
Imaginez qu’un élève vous dise :
- « Je suis nul en maths. »
- « Je n’ai pas de mémoire. »
- « Les sciences, ce n’est pas pour moi. »
Ces phrases, souvent prononcées avec une résignation désarmante, ne sont pas de simples constats. Ce sont des croyances profondément enracinées qui agissent comme des murs invisibles. Elles ne décrivent pas une réalité, mais la créent. Un élève qui se dit « nul en maths » évitera les défis mathématiques, interprétera chaque erreur comme une preuve de son incapacité et se retirera du processus d’apprentissage.
Pourquoi ne pas combattre ces croyances limitantes de front ?
Quand vous entendez ces affirmations, votre premier réflexe pourrait être de les contredire :
- « Mais si, tu es capable ! »
- « Ce n’est pas vrai, tu as réussi tel exercice la semaine dernière. »
Cependant, ces réponses, bien qu’animées des meilleures intentions, risquent de renforcer la résistance. Pourquoi ? Parce que les croyances limitantes sont souvent le fruit d’émotions fortes : peur, frustration, sentiment d’échec. Les attaquer frontalement, c’est risquer de déclencher un repli défensif.
Ces phrases sont souvent les premières qui nous viennent à l’esprit, portées par le désir sincère de soutenir et de motiver. Pourtant, elles risquent d’avoir l’effet inverse.
Ces affirmations bien intentionnées peuvent involontairement provoquer un phénomène de résistance psychologique. Pourquoi ? Parce qu’en cherchant à contredire directement une croyance, vous poussez l’élève à défendre son point de vue. En effet, ses pensées limitantes ne sont pas seulement des mots. Elles sont souvent enracinées dans des expériences personnelles marquées par des émotions intenses :
- La peur : peur de l’échec, peur du jugement des autres.
- La frustration : après des efforts non récompensés ou des difficultés répétées.
- Le sentiment d’échec : une conviction renforcée par des événements passés.
Quand vous dites : « Mais si, tu es capable », cela peut être perçu comme une négation de ses émotions ou une minimisation de ses expériences. L’élève peut se sentir incompris, et au lieu de remettre en question sa croyance, il s’y accroche davantage pour la défendre.
L’effet boomerang des intentions positives
Prenons un exemple concret. Un élève dit : « Je suis nul en maths. » Vous répondez : « Mais non, tu as réussi l’exercice d’hier. »
Que se passe-t-il dans son esprit ?
- Il se souvient de ses échecs : Il pensera automatiquement à toutes les fois où il n’a pas réussi. Sa croyance se renforce par contraste avec ce que vous dites.
- Il ressent un décalage émotionnel : Vous soulignez une réussite, mais lui reste focalisé sur son ressenti d’incapacité. Ce décalage peut le frustrer ou le rendre défensif.
- Il rejette votre soutien : Au lieu de le rassurer, votre intervention peut être perçue comme une tentative de nier ses difficultés.
En voulant l’aider, vous risquez de construire un mur supplémentaire entre lui et vous.
Une meilleure approche : comprendre avant de répondre
Plutôt que de combattre directement ces croyances, il est plus efficace de prendre un moment pour les accueillir et les comprendre. En offrant une écoute attentive, vous désamorcez les émotions sous-jacentes et ouvrez la voie à une transformation progressive.
L’idée n’est pas de nier les ressentis de l’élève, mais de les valider tout en lui montrant qu’une autre interprétation est possible. Ce processus demande de la patience, mais il est bien plus puissant que la confrontation.
Parfois, ne pas chercher à convaincre est le meilleur moyen d’aider un élève à changer de perspective. ✨
Écoutez, comprenez, puis proposez une autre narration
Changer les croyances limitantes d’un élève n’est pas un acte de confrontation, mais un processus subtil et délicat. Ce n’est pas en niant ses pensées que vous pourrez l’aider à avancer, mais en créant un espace où il peut s’exprimer, se comprendre, et surtout, envisager une nouvelle perspective. Voici comment transformer ce processus en un outil puissant pour l’apprentissage.
- Écoutez sans juger : l’art de l’accueil
Quand un élève exprime une croyance limitante, comme « Je suis nul en maths » ou « Je n’ai pas de mémoire », la première étape consiste à écouter pleinement. Cela peut sembler évident, mais en réalité, écouter véritablement demande une attention et une patience particulières.
Trop souvent, nous avons tendance à interrompre ou à minimiser :
- « Mais non, tu n’es pas nul ! »
- « Ce n’est pas grave, ça arrive à tout le monde. »
Bien que ces phrases soient bien intentionnées, elles peuvent donner à l’élève l’impression que ses émotions ne sont pas prises au sérieux. Or, pour lui, ces croyances sont réelles et profondément enracinées dans des expériences marquantes.
Comment écouter efficacement ?
- Laissez l’élève s’exprimer sans interruption. Donnez-lui l’espace de verbaliser son ressenti, même si ses propos semblent exagérés ou défaitistes.
- Utilisez des phrases de validation émotionnelle. Par exemple :
- « Je vois que tu te sens dépassé. »
- « C’est normal que tu te sentes découragé après cette expérience. »
- Adoptez un langage corporel ouvert. Un sourire doux, un regard bienveillant, ou même un léger hochement de tête peuvent rassurer l’élève sur le fait qu’il est entendu.
En validant son ressenti, vous ne renforcez pas sa croyance limitante. Vous lui montrez simplement qu’il a le droit de ressentir ce qu’il ressent. Cela apaise son esprit et lui permet de baisser sa garde, créant ainsi un terrain fertile pour le changement.
- Posez des questions ouvertes : explorer la croyance
Une fois que l’élève se sent compris, l’étape suivante est de l’amener à explorer sa croyance. Plutôt que de contredire directement ce qu’il pense, invitez-le à examiner ses pensées par lui-même.
Pourquoi les questions ouvertes sont-elles si efficaces ?
Les croyances limitantes agissent souvent comme des « raccourcis mentaux » basés sur des expériences isolées ou des jugements émotionnels. En posant des questions ouvertes, vous aidez l’élève à mettre en lumière ces raccourcis et à prendre conscience de leur manque de fondement.
Exemples de questions ouvertes :
- « Qu’est-ce qui te fait penser que tu es nul en maths ? »
- « Peux-tu te souvenir d’un moment où tu as réussi quelque chose de difficile en classe ? »
- « Si tu avais une baguette magique, que changerais-tu pour te sentir plus confiant ? »
Ces questions permettent à l’élève de sortir du mode « victime » et de se placer dans une posture de réflexion active. Elles lui offrent l’occasion de prendre du recul et, parfois, de réaliser que ses croyances sont fondées sur des généralisations ou des émotions passagères.
L’approche socratique : un levier puissant
Le philosophe Socrate utilisait une méthode d’interrogation qui encourageait ses interlocuteurs à remettre en question leurs certitudes. En adoptant une approche similaire, vous pouvez guider l’élève vers des réponses qu’il découvre par lui-même, rendant ainsi le processus de transformation plus durable.
- Proposez une autre narration : planter une graine
Après avoir écouté et exploré, il est temps de proposer une nouvelle perspective. Cette étape ne consiste pas à imposer une vérité, mais à offrir une alternative, comme on tend une porte entrebâillée. L’élève n’a pas besoin de franchir cette porte immédiatement, mais simplement de savoir qu’elle existe.
Comment raconter une nouvelle histoire ?
- Utilisez des métaphores ou des comparaisons. Les images simples et parlantes aident à ancrer de nouvelles idées dans l’esprit de l’élève. Par exemple :
- « La mémoire, c’est comme un muscle : plus tu l’entraînes, plus elle devient forte. »
- « Résoudre des problèmes de maths, c’est un peu comme apprendre à faire du vélo. Au début, on tombe, mais avec de la pratique, on trouve l’équilibre. »
- Parlez d’exemples inspirants. Partagez des anecdotes réelles ou fictives sur des personnes qui ont surmonté des défis similaires. Par exemple :
- « Tu connais Albert Einstein ? On disait qu’il avait des difficultés à l’école. Pourtant, il a changé le monde. Peut-être que toi aussi, tu as une façon différente de réfléchir, et c’est une force. »
- Proposez une démarche collaborative. Invitez l’élève à essayer une nouvelle approche avec vous, en tant que partenaire, et non comme un simple exécutant :
- « Si on essayait une méthode différente pour cet exercice ? On pourra ajuster ensemble en fonction de ce qui te convient. »
Pourquoi cela fonctionne : interrompre le script
Les croyances limitantes fonctionnent comme des scripts mentaux que l’élève rejoue sans cesse : « Je suis nul », « Je n’y arriverai pas », « Ce n’est pas fait pour moi ». Ces scripts se renforcent à chaque répétition, créant un cercle vicieux.
En écoutant, en posant des questions ouvertes et en proposant une autre narration, vous interrompez ce cycle. Vous ne forcez pas l’élève à abandonner ses croyances d’un coup, mais vous semez une graine : celle du doute positif, de la possibilité d’une autre vérité.
La patience est essentielle
Cette graine ne germera pas immédiatement. Il faudra du temps, des répétitions et des moments où l’élève testera cette nouvelle narration dans le monde réel. Mais même un léger changement dans la manière dont il se perçoit peut avoir des répercussions profondes sur sa motivation et sa confiance.
Un exemple concret : transformer une croyance limitante
Imaginons un élève qui dit : « Je suis nul en sciences, je n’y comprends rien. »
- Écoutez sans juger : « Je vois que tu te sens perdu. C’est frustrant, n’est-ce pas ? »
- Posez des questions ouvertes : « Est-ce qu’il y a une partie des sciences que tu trouves plus intéressante ou plus facile ? »
- Proposez une autre narration : « Parfois, il suffit de voir les choses sous un autre angle. Les grands scientifiques aussi ont eu des moments où ils se sont sentis perdus. On pourrait essayer une nouvelle approche ensemble. »
En conclusion : devenir un guide narratif
En écoutant, en comprenant et en proposant une autre narration, vous devenez bien plus qu’un enseignant ou un formateur. Vous devenez un guide qui aide l’élève à réécrire l’histoire qu’il se raconte sur lui-même.
Car, au fond, l’éducation ne consiste pas seulement à transmettre des connaissances. C’est aussi aider les élèves à croire en leur capacité à apprendre et à évoluer. Et cela commence par les histoires que nous choisissons de leur raconter. ✨
Sources et références
[1] La médaille d’or décernée à une bouteille à 2,50 euros : les juges d’un concours international de vin piégés par de la piquette https://www.lindependant.fr/2023/05/20/la-medaille-dor-decernee-a-une-bouteille-a-250-euros-les-juges-dun-concours-international-de-vin-pieges-par-de-la-piquette-11208477.php