Dernière modification de l’article le 26 avril 2020 par Admin

À l’heure où j’écris ces lignes, nous sommes encore en confinement qui prendra fin le 11 mai 2020.

Alors, pourquoi parler de l’enseignement et de la formation à distance ?

D’abord, à l’issue de cette période de confinement, vous pouvez être amené à continuer à utiliser l’enseignement à distance pour le combiner au présentiel.

C’est ce que l’on appelle l’apprentissage hybride ou (blended learning) en anglais [1]. C’est un mode d’apprentissage qui se développe beaucoup.

Car, comme nous l’avons vu dans le précédent dossier, l’enseignement et la formation à distance (ou la formation en ligne) apportent de vrai « plus »  dans l’efficacité de l’apprentissage.

Il serait dommage de s’en passer. Et vous pourriez être amené à l’intégrer dans votre pratique pédagogique.

Bien entendu, pour qu’une formation en ligne ou un enseignement à distance fonctionne, il y a quelques principes à respecter.

Dans ce dossier sur l’enseignement et la formation à distance, vous allez connaître :
 
  – les 9 principes d’application  ;
 
  – les pièges à éviter ;
 
  – les éléments-clés qui conditionnent la réussite de chaque principe.

 

 

 

Pour voir la vidéo directement sur Youtube

Pour voir la liste des vidéos de la chaîne logo-YouTube

 

Version texte

PRINCIPE 1La qualité pédagogique de votre contenu vidéo

 

Le contenu de la formation et l’enseignement en ligne se résume essentiellement par du contenu en vidéo. Contenu que l’on retrouve en accès privé sur une plateforme pédagogique ou de formation et sur YouTube.

Le piège est de penser qu’une vidéo est automatiquement un bon contenu. Ou si vous êtes un brin perfectionniste, penser qu’un contenu vidéo de qualité rassemble :

un bon son ;

une qualité d’image ;

une explication accessible et cohérente.

 Pourquoi ?

Vous allez comprendre avec l’histoire de Mme MARTIN, professeur de français.

Mme MARTIN a une super idée pour animer son enseignement à distance : faire des cours où elle se filme. Ensuite elle met la vidéo sur YouTube. À l’occasion elle crée sa chaîne avec une playlist pour chaque thème abordé.

Pas besoin d’avoir du grand matériel : son smartphone et un trépied à 10€ feront l’affaire.

L’objectif n’est pas d’atteindre une grande qualité de vidéaste ou de Youtuber à succès.  

Alors elle parle, fait son cours comme si, devant l’objectif de son téléphone, se matérialisaient ses élèves. Elle y prend même du plaisir. À tel point qu’en 2 jours, à sa grande surprise, elle réussit à tourner une bonne dizaine de vidéos d’une trentaine de minutes chacune.

Satisfaite, elle invite par e-mail ses élèves à regarder ses cours en vidéo. Elle enverra ensuite les exercices à faire suite à ses vidéos.

2 jours plus tard, piquée par une curiosité maligne, elle regarde les statistiques de visionnage YouTube. Si les premières vidéos ont été visionnées par 90% de ses élèves, un détail la tracasse : le taux moyen de visionnage n’est que de 15% !

Qu’est-ce que cela veut dire ? Simplement qu’en moyenne 15% de ses élèves ont regardé la vidéo totalement.  Un autre chiffre l’interpelle : au bout de 8 minutes seulement, le taux de visionnage tombe brutalement à 30%. Cela veut dire que 70% de ses élèves, qui ont visionné ses vidéos, ont décroché bout de 8 minutes.

C’est le piège classique : croire qu’une vidéo est forcément un contenu visuel qui plait. Car les vidéos de Mme MARTIN sont exclusivement auditives : ses vidéos sont que du « parlé »,  pas d’image, pas d’illustration pour étayer son propos.  L’auditif, en moyenne cela ne concerne que 30% de la population. Cela veut dire qu’elle perd tous les autres comme les élèves de profil visuel et kinesthésique par exemple.

Enfin ses vidéos de 30 minutes sont trop longues : l’attention décroche au bout de 18 minutes en moyenne.

Un contenu vidéo qui accroche son audience, satisfait les 3 profils de compréhension en même temps : visuel, auditif et kinesthésique.

NOTA – Attention ici je parle des profils de compréhension du modèle des 7 profils d’apprentissage. Il ne s’agit pas du modèle de V.A.R. K de Fleming & Mills assez critiqué [2]

Mme MARTIN aurait pu créer du contenu ludique et attrayant. Mais c’est très chronophage. Et, puis elle n’est pas spécialiste de la création vidéo.

Certes, elle n’y connaissait pas grand-chose à YouTube. Elle a l’intelligence d’esprit de se faire aider par le fils de sa meilleure copine. Cela ne lui a pris qu’une petite heure pour comprendre le fonctionnement. Mais la création de vidéos c’est une autre histoire.

Et, vous n’avez pas forcément ce temps, à moins de faire un Burn Out. 

L’initiative de Mme MARTIN n’est en soi pas mauvaise. Simplement, elle a ses limites. En être conscient évite des déconvenues.

Le plus simple est de se reporter aux ressources déjà existantes sur YouTube.

Voici quelques ressources éducatives en vidéo :

Selon l’Éducation nationale, la plateforme « Ma classe à la maison »

 

Les plateformes que vous connaissez peut-être :

La chaîne les bons profs – 

Dirty Biology – 

Nota bene : 

Khan academy en Français : 

Ressource du CNED :

Vous pouvez chercher les meilleurs contenus. Là encore c’est chronophage et vous rognez l’autonomie de l’élève. Le mieux est souvent l’ennemi du bien.

LE MIEUX  est de demander aux élèves de chercher et de sélectionner les ressources vidéos qui leurs conviennent. Et pourquoi pas, mettre en commun. Rechercher, les élèves adorent souvent. Pourquoi ? Par cet exercice de recherche, ils deviennent proactifs.

L’avantage est triple ;

Vous êtes sûr à 100% de trouver du contenu qui convient.

L’objectif est de vous leur laissez l’initiative, d’encourager leur autonomie.

Et vous, vous économisez de l’énergie et du temps.

Quant aux ressources manquantes, vous pouvez faire comme Mme MARTIN : créer vos cours en vidéos tout en connaissant les limites.

 

Créer son contenu – Correction d’exercice

 

La vidéo se prête bien pour la correction d’exercices.

Comment cela fonctionne-t-il ?

Vous pouvez utiliser la tablette graphique et un logiciel de capture d’écran. (Vous trouverez en ressources, des détails sur les noms des logiciels possibles [3]).

Vous commentez un exercice en format Word ou PDF, et vous faites les annotations avec la tablette graphique.

Dans ce commentaire vous faites une capture d’écran vidéo avec un logiciel. Vos corrections seront transformées en vidéo.

 

Organisez les leçons par thème en modules.

 

Évitez de concevoir des vidéos trop longues. La concentration et l’attention moyennes ne dépassent pas 20 minutes. Si vos vidéos font plus de 20 minutes, vous pouvez les séquencer en 2 morceaux de 10 minutes. La coupure se fait lorsque vous abordez un autre thème.

 

PRINCIPE 2 – Garder chaque élève engagé

 

Le désavantage des cours en ligne est une relative passivité à regarder du contenu. Que retiennent les élèves ensuite ? Mystère. Certains de vos élèves apprendront, d’autres regarderont pour simplement dire qu’ils ont regardé.  Enfin d’autres ne regarderont rien. Vous ignorez totalement comment vos élèves utilisent le contenu disponible.

La solution ?  Elle est assez simple : demandez à vos apprenants de prendre des notes du contenu vidéo disponible et de faire des résumés, de synthétiser ce qu’ils ont appris. Plusieurs avantages :

 

– un rappel des connaissances qui stimule la mémorisation (les élèves n’oublieront plus 80% de ce qu’ils ont regardé ou entendu) ;

– il restera des notes et des résumés  facilement consultables au moment des révisions ;

– les élèves passent d’une position de spectateurs (passifs) à acteurs de leur apprentissage.

 

Selon le type de contenu, et de vos exigences, les élèves peuvent travailler en groupe. Vous pouvez exiger de temps à autre un rendu ou d’en faire un devoir qui sera noté par vos soins. Je sais, c’est la carotte de la notation.

Nous sommes des êtres humains, et la motivation fonctionne essentiellement par la récompense.

Ainsi, quand vous reverrez vos élèves, ils auront toute une série de résumés qui les auront poussés à travailler sur du contenu de cours.

 

PRINCIPE 3 – Savoir être présent pour conserver ou/ et créer du lien

 

Dans l’enseignement et la formation à distance, la présence se manifeste par un rappel régulier.

Dans cette période de confinement, j’ai beaucoup entendu dire que des enseignants avaient perdu leurs élèves dans le passage à l’enseignement à distance. C’est vrai, mais une grande partie d’entre eux étaient déjà perdus avant. Sauf que leur présence physique le masquait, et alimentait une illusion rassurante d’une implication.

Notez une chose : les élèves dont vous avez perdu le lien en présentiel (élèves présents physiquement,  mais absents dans leur implication) ne pourront pas être récupérés dans un enseignement à distance.

Pour fonctionner, cette présence à distance implique une fiabilité : si vous dites que vous êtes disponible à telle heure, alors une rigueur s’impose, vous êtes là.

Une erreur courante est d’inonder les élèves de message et sollicitation. Les élèves ont plusieurs enseignants. Si chaque professeur envoie ses exigences, il est à craindre une overdose de message.

C’est ce qui se passe en l’absence de toute coordination entre enseignants. Une cacophonie s’installe donnant l’impression d’un désordre qui incite les élèves à se relâcher. Automatiquement, les élèves feront un tri entre les professeurs qu’ils aiment bien (et qu’ils suivent la recommandation) et les autres.

Si vous vous retrouvez dans ce cas de figure, la solution est de se renseigner sur comment les élèves font avec les autres professeurs. Ainsi, vous pourrez avoir un juste dosage.  

Durant les vacances et les weekends, cette présence n’est pas forcément absente. Elle est plus légère. Le but étant de conserver un lien avec vos élèves et d’éviter une reprise brutale.

Pensez à laisser des plages de repos. Dans la période de confinement, la situation est difficile pour les élèves.

 

PRINCIPE 4 – La force du travail de groupe

 

Savez-vous que l’on apprend mieux en groupe que seul.

Qu’est-ce que cela veut dire concrètement ?

Les élèves apprennent mieux lorsqu’ils  ont la possibilité de réfléchir et de travailler par groupe (de 2 ou 3 voire plus) sur des concepts, des exercices ou faire des exposés.

Cela fonctionne surtout lorsque les élèves du groupe ont l’occasion de partager, et de se soutenir mutuellement : ceux qui ont des difficultés sont aidés par ceux qui ont compris. Ces élèves-là se transforment alors en enseignants.

Et ce mode d’apprentissage est extrêmement puissant.

C’est la conclusion que tire de ses recherches le professeur et docteur en neuropsychologie Matthew Lieberman de l’université de Californie [4 et 5]. Il indique que :

« Lorsque vous êtes motivé socialement pour apprendre, le cerveau social [6] peut apprendre et il peut le faire mieux que le réseau analytique que vous activez généralement lorsque vous essayez de mémoriser ».

L’apprentissage de groupe est une clef puissance, pour apprendre. Bien plus efficace que d’apprendre seul dans son coin.

Matthew Lieberman va même plus loin : « si vous apprenez pour enseigner à quelqu’un d’autre, alors vous apprenez mieux que si vous apprenez pour passer un test.»

Comment faire dans l’enseignement et la formation à distance ? En développant une communauté via les réseaux sociaux et les forums de discussions.

Les réseaux sociaux et les forums de discussions offrent une occasion d’apprentissage en communauté bien plus efficace que ne peut l’être en présentiel.

Alors bien entendu, pour que ce soit efficace, quelques principes de fonctionnement sont à respecter. C’est ce que l’on va voir tout de suite.

 

PRINCIPE 5-  Créer une communauté d’apprentissage via les réseaux sociaux

 

Si vous pouvez utiliser une plateforme pédagogique,  un forum de résolution de problèmes ou des forums de discussions, est très utile pour développer une communauté d’entreaide.

Chacun des élèves peut poser ses questions et interagir. Votre rôle est de modérer les discussions et d’apporter des précisions.

Et si vous n’avez pas de plateforme pédagogique à disposition ? Alors vous pouvez vous servir des réseaux sociaux, comme les plus célèbres : Facebook, et Twitter. Ou même What’s app.

Savez-vous qu’aujourd’hui, les médias sociaux deviennent un des meilleurs moyens pour les gens de communiquer entre eux ? Et, leur utilisation est en constante augmentation : selon l’étude de l’institut BroadBand Search dans le monde on passe en moyenne plus de 2heures sur les réseaux sociaux, soit une augmentation de plus de 62% depuis 2012 [7].

Alors, utilisez ce phénomène à votre avantage pour développer une communauté. Ce  qui n’est pas possible en présentiel.  

Un exemple est l’utilisation de Twitter pour apprendre l’orthographe et faire des dictées appelées les « Twictée » [8]

Par contre il vous faudra apprendre le maniement des réseaux sociaux. C’est assez simple. C’est en plus une occasion pour vous d’apprendre.

Si vous n’avez aucune connaissance, vous pouvez vous faire aider pas vos élèves. Cela aura le mérite d’éviter de faire des erreurs et de vous faire économiser du temps. Et en plus cela enrichira votre relation avec vos élèves.

Je vous conseille d’éviter de multiplier l’usage de plusieurs réseaux sociaux. Au début, vous pouvez tester, pour ensuite en sélectionner un seul.

 

PRINCIPE 6- Gestion du temps

 

Gérez votre temps de manière raisonnable. Ne soyez pas disponible 24h / 24 et 7j / 7. Ne transformez pas votre classe en interaction individuelle avec 30 élèves. Ayez à l’esprit une bonne gestion du temps.

Si l’avantage de la communauté où les élèves se soutiennent mutuellement, il est facile de se faire absorber et déborder : mal gérée, une communauté peut vite devenir chronophage.

Répondre à chaque message du forum de discussions d’un cours en ligne « vous écrasera »,

Votre rôle est de surveiller les discussions et d’intervenir ou de répondre qu’en cas de stricte nécessité. Gardez-vous de réponde à chaque message, laissez les élèves interagir entre eux le plus possible.

L’enseignement en ligne n’est pas un substitut de l’enseignement en présentiel où vous pouvez répondre à chaque question durant le cours. 

Gardez à l’esprit de rendre l’élève autonome. C’est même ce que vous devez rechercher à développer chez l’élève.

Bien entendu, la notion  d’autonomie est toute relative selon les niveaux :

Vous ne pouvez pas exiger un même niveau d’autonomie pour un collégien que pour un étudiant en étude supérieure.

 

 PRINCIPE  7 – des attentes claires et réalistes 

 

Donnez un ensemble d’attentes explicites pour vos apprenants et pour vous-même quant à la façon dont vous communiquerez et combien de temps les étudiants devraient consacrer au cours chaque semaine. Combien de temps devrait passer un élève devant un contenu ?

 

Selon l’université de Stanford

« Combien de temps les apprenants devraient-ils s’attendre à consacrer chaque semaine à un cours en ligne? Une bonne règle de base est six heures de temps d’apprentissage productif qui sont utilisés pour des activités telles que la lecture et le traitement de contenu. Pour de nombreux apprenants, il faut parfois dix heures pour atteindre les six heures productives. » [9]

 

PRINCIPE 8 Demander du feedback informel et en tenir compte

 

Demander un retour d’expérience, une sorte de feedback est essentiel et offre un double avantage. 

1.  Vous savez si votre enseignement à distance va dans la bonne direction.  

Posez la question même si vous utilisez une plateforme pédagogique.

Car on se fait piéger, par la croyance que si la plateforme fonctionne, c’est que tout va bien. Je peux vous garantir que ce n’est pas forcément le cas.   

2. Ensuite, vous avez une présence plus riche que donner des cours et demander des rendus d’exercices.

 Comment demander un « feedback » ? 

Il s’agit d’être factuel, précis et positif afin d’éviter que votre bonne intention n’amène à une séance de plaintes et de critiques chez les élèves.  

Voici les grandes questions à poser.

« Qu’est-ce qui fonctionne bien jusqu’à présent ? »

 « Comment votre expérience d’apprentissage à distance pourrait-elle être améliorée ? »

 Éviter centrer vos questions sur ce qui ne fonctionne pas. Vous aurez un flot de critiques généraliste.

Orientez vos questions sur les solutions comme :    « Où précisément avez-vous besoin d’aide? »

« Quelles sont les trois choses que vous appréciez ? »

 

PRINCIPE 9 Découvrir sa façon d’apprendre

 

Chaque élève est différent, et chaque élève à sa propre façon d’apprendre.

L’autonomie ne veut pas dire « apprendre à se débrouiller ». Développer l’autonomie chez ses élèves c’est les amener à se connaître, à leur faire découvrir leur façon d’apprendre, leur façon de fonctionner.

Les élèves ne peuvent pas le faire seuls, surtout quand ils sont au collège ou au lycée.

Ils ont besoin que vous leur proposiez un outil. Vous en avez plusieurs dont vous pouvez combiner l’usage :

Les 7 profils d’apprentissage

Les Intelligences multiples

La gestion mentale

 

Prenez ce qui vous convient. Ayez une approche pragmatique. Comment faire ? C’est très simple : prenez ce qui fonctionne, qui vous convient et laissez de côté ce que vous estimez non pertinent.  

Sources et références

 

[1] Définition de l’apprentissage hybride : https://fr.wikipedia.org/wiki/Apprentissage_hybride

[2] Pour en savoir plus sur le modèle de VARK de Fleming & Mills et des critiques : https://www.apprendreaapprendre.com/reussite_scolaire/comment-apprendre-a-apprendre/

[3] Encapture d’écran j’utilise le logiciel « snagit ». Voici une très bonne explication d’outil de création de formation : https://youtu.be/NzMfPqwgwoU

[4] MedicalNewsToday « What are the health benefits of being social ? » « https://www.medicalnewstoday.com/articles/321019

[5] « The social brain and its superpowers » Matthew Lieberman, Ph.D. at TEDxStLouis : https://youtu.be/NNhk3owF7RQ

Matthew Dylan Lieberman est professeur et directeur du laboratoire de neurosciences cognitives sociales au Département de psychologie, de psychiatrie et des sciences du comportement biologique de l’UCLA. – https://www.psych.ucla.edu/faculty/page/lieber

[6] Le cerveau social est défini comme le réseau complexe de domaines qui nous permet de reconnaître les autres, et d’évaluer leurs états mentaux (intentions, désirs et croyances), leurs sentiments, leurs dispositions et actions durables. Pour résumer : le  «cerveau social», est l’activité neuronale liée à l’interaction sociale, et les avantages cérébraux qui en découlent.

[7] « Average Time Spent Daily on social Media (Latest 2020 data) » https://broadbandsearch.net/blog/average-daily-time-on-social-media

[8] Pour les dictées et l’orthographe : les twictées : https://www.twictee.org/

Reportage sur les twictées : https://www.youtube.com/watch?v=e7ZSmq5QywI&feature=emb_err_watch_on_yt

[9] https://tomprof.stanford.edu/posting/1091

 

Les différentes chaînes YouTube

La chaîne es bons profs – https://www.youtube.com/user/lesbonsprofs

Dirty Biology – https://www.youtube.com/user/dirtybiology/videos

Nota bene : https://www.youtube.com/user/notabenemovies

Khan academy  en Français : https://www.youtube.com/user/KhanAcademyFrancais

Ressource d’un enseignant: Frédéric JEAN ( Montre comment il filme ses cours et interagit avec ses élèves) – https://www.youtube.com/watch?v=EGzric4ns7Y

je recommande cette chaîne « Etreprof » (Lycée professionnel et technique) : Continuité pédagogique en Lycée professionnel – https://www.youtube.com/watch?v=LiNAxjmyfpI&t=3208s

 

 

 

 

4 Commentaires

  1. bjr j’ai vraiment aimé le cour et ça me donne de pouvoir m’exercer d’avantage, parce que enseigner est pour moi. une passion et ça va m’aider à m’améliorer

  2. Merci pour ces précieux enseignement. J’utilise votre livre depuis longtemps et je m’inspire de votre site pour mener à bien mon travail de formatrice de formateurs.
    Salutations

    Maria

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